Fukushima et les chiens de garde du nucléaire

Les médias japonais en accusation

Le 11-mars sera commémoré par une minute de silence. Ce sera peut-être pour nombre de Japonais l’occasion de se rappeler que la catastrophe nucléaire de Fukushima qui débuta un an plus tôt a prospéré sur le silence des autorités, relayé par une presse bien complaisante à l’égard des informations reçues (lire l’écrivain Ikezawa Natsuki, « La catastrophe comme occasion », Le Monde diplomatique de mars, en kiosques).

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