TCHERNOBYL, FUKUSHIMA, PLUS JAMAIS ÇA ! ARRET IMMEDIAT DU NUCLEAIRE

SAMEDI 28 AVRIL À LORIENT rassemblement aux Halles de Merville à 10h30, die-in puis défilé dans les rues du centre-ville à 14h00

Co-voiturage au départ de Vannes 9h 30 place de la Libération

Le 26 avril 1986 à Tchernobyl, un réacteur nucléaire explosait et précipitait plus d’un million de victimes (dont 800 000 «liquidateurs») vers la mort, le handicap et la maladie. Sur des centaines de kilomètres carrés, l’eau, l’air, le sol sont durablement contaminés par la radioactivité. Plus de 10 000 enfants par an sont toujours soignés au seul hôpital de Gomel (Bélarus) pour des malformations du cœur, du système cardio-vasculaire, du tube digestif, des reins,… sans compter les cataractes, cancers et baisse d’immunité.

Le 11 mars 2011, Un nouvelle catastrophe nucléaire frappait Fukushima au Japon, entraînant la contamination de plus de 30 000 km² et de plusieurs millions d’habitants. Ici encore, ce seront des milliers d’enfants qui vont subir la mort, le handicap, la maladie nucléaire dans les années à venir.

Les Japonais ont tiré la seule conséquence logique de ce drame : l’arrêt de leurs 54 réacteurs nucléaires en à peine plus d’un an. En France, pourquoi attendre qu’un accident survienne ? Etes-vous prêt à ce que vos enfants, petits-enfants, arrière-petits-enfants,… soient victimes de la radioactivité ?

Depuis la création en 1945 du Commissariat à l’Énergie Atomique, une oligarchie confisque les décisions relatives à la politique énergétique, cultive le mensonge, la dissimulation, l’opacité, nous impose des contaminations régulières (mines, usines, réacteurs, entrepôts), un déploiement policier constant, des cibles potentielles explosives, des dépenses publiques abyssales, une gabegie énergétique (socialement indécente) par le chauffage électrique, des déchets hautement dangereux pour très longtemps, un risque permanent de catastrophe qui menace la vie au-delà des frontières administratives.

Pour toutes ces raisons, nous exigeons :

  • l’arrêt immédiat du programme électronucléaire français ;
  • l’arrêt de la construction de l’EPR à Flamanville ;
  • l’affectation des finances publiques et privées vers une ambitieuse et participative politique énergétique, tournée vers la sobriété, l’efficacité, les énergies renouvelables.

 

STOP NUCLÉAIRE 56 / TRAWALC’H !

6 rue de la Tannerie 56000 VANNES – http://stop-nucleaire56.org